Composer avec l’imprévisible
Aléa (n. m.) : tour imprévisible et le plus souvent défavorable pris par les évènements et lié à une activité, une action.
Il arrive que l’existence d’un aléa soit identifiée à l’avance, et l’on se doit alors de composer avec sa probabilité de réalisation… mais tout le « charme » de l’aléa réside aussi dans sa survenance imprévisible au beau milieu de notre activité ; l’aléa se manifeste parfois à un moment ou dans un endroit insolite !
Comme il le fut rappelé à plusieurs reprises durant le Congrès nantais de Domaines Skiables de France, fort réussi par ailleurs, le microcosme des domaines skiables a dû, et devra encore, naviguer avec des aléas connus mais surtout avec d’autres plus inattendus ; c’est le cas de certaines initiatives juridiques de l’administration et du législateur parfois plus aléatoires que ne peuvent l’être les prévisions météorologiques ou d’enneigement. Le délégué général Laurent Reynaud a eu le sens de la formule pour symboliser toute la vigilance dont DSF fait preuve quotidiennement pour faire face à ces aléas qui ne devraient pas en être.
L’actualité de ces derniers mois, de ces dernières semaines, de ces derniers jours, nous a adressé quelques semonces : il est compliqué d’anticiper et de prévoir, y compris ce que l’on imaginait prévisible. Après la surprise Brexit, expression d’un certain ras-le-bol des Britanniques dont les conséquences économiques et notamment touristiques restent encore à déterminer, le monde entier a vécu la sensation Trump, à cause de/grâce à l’inquantifiable « vote caché » du suffrage américain. Au-delà des résultats que l’on se gardera bien de commenter – prenons acte, respectons et composons avec – le seul enseignement certain est relatif aux prévisions : sondages et statisticiens se sont pris les pieds dans le tapis. Plus proches de nous, les primaires de la droite et du centre ont elles aussi défié les projections des prévisionnistes politiques, parfois à la dernière minute.
Encore plus proches de nous, certaines destinations avaient lancé leur saison d’hiver un peu tôt avec une neige précoce alléchante, vite rattrapées par des températures qui leur ont joué des tours. A la différence près que pour ce qui relève de notre économie, on sait que l’épisode neigeux se produira, peu ou prou, la question restant quand et combien de temps. Pour le reste les professionnels savent s’en accommoder pour optimiser ce don de la nature… en y ajoutant parfois un peu de neige de culture, histoire d’atténuer l’aléa.
Aléa (n. m.) : tour imprévisible et le plus souvent défavorable pris par les évènements et lié à une activité, une action.
Il arrive que l’existence d’un aléa soit identifiée à l’avance, et l’on se doit alors de composer avec sa probabilité de réalisation… mais tout le « charme » de l’aléa réside aussi dans sa survenance imprévisible au beau milieu de notre activité ; l’aléa se manifeste parfois à un moment ou dans un endroit insolite !
Comme il le fut rappelé à plusieurs reprises durant le Congrès nantais de Domaines Skiables de France, fort réussi par ailleurs, le microcosme des domaines skiables a dû, et devra encore, naviguer avec des aléas connus mais surtout avec d’autres plus inattendus ; c’est le cas de certaines initiatives juridiques de l’administration et du législateur parfois plus aléatoires que ne peuvent l’être les prévisions météorologiques ou d’enneigement. Le délégué général Laurent Reynaud a eu le sens de la formule pour symboliser toute la vigilance dont DSF fait preuve quotidiennement pour faire face à ces aléas qui ne devraient pas en être.
L’actualité de ces derniers mois, de ces dernières semaines, de ces derniers jours, nous a adressé quelques semonces : il est compliqué d’anticiper et de prévoir, y compris ce que l’on imaginait prévisible. Après la surprise Brexit, expression d’un certain ras-le-bol des Britanniques dont les conséquences économiques et notamment touristiques restent encore à déterminer, le monde entier a vécu la sensation Trump, à cause de/grâce à l’inquantifiable « vote caché » du suffrage américain. Au-delà des résultats que l’on se gardera bien de commenter – prenons acte, respectons et composons avec – le seul enseignement certain est relatif aux prévisions : sondages et statisticiens se sont pris les pieds dans le tapis. Plus proches de nous, les primaires de la droite et du centre ont elles aussi défié les projections des prévisionnistes politiques, parfois à la dernière minute.
Encore plus proches de nous, certaines destinations avaient lancé leur saison d’hiver un peu tôt avec une neige précoce alléchante, vite rattrapées par des températures qui leur ont joué des tours. A la différence près que pour ce qui relève de notre économie, on sait que l’épisode neigeux se produira, peu ou prou, la question restant quand et combien de temps. Pour le reste les professionnels savent s’en accommoder pour optimiser ce don de la nature… en y ajoutant parfois un peu de neige de culture, histoire d’atténuer l’aléa.
Aléa (n. m.) : tour imprévisible et le plus souvent défavorable pris par les évènements et lié à une activité, une action.
Il arrive que l’existence d’un aléa soit identifiée à l’avance, et l’on se doit alors de composer avec sa probabilité de réalisation… mais tout le « charme » de l’aléa réside aussi dans sa survenance imprévisible au beau milieu de notre activité ; l’aléa se manifeste parfois à un moment ou dans un endroit insolite !
Comme il le fut rappelé à plusieurs reprises durant le Congrès nantais de Domaines Skiables de France, fort réussi par ailleurs, le microcosme des domaines skiables a dû, et devra encore, naviguer avec des aléas connus mais surtout avec d’autres plus inattendus ; c’est le cas de certaines initiatives juridiques de l’administration et du législateur parfois plus aléatoires que ne peuvent l’être les prévisions météorologiques ou d’enneigement. Le délégué général Laurent Reynaud a eu le sens de la formule pour symboliser toute la vigilance dont DSF fait preuve quotidiennement pour faire face à ces aléas qui ne devraient pas en être.
L’actualité de ces derniers mois, de ces dernières semaines, de ces derniers jours, nous a adressé quelques semonces : il est compliqué d’anticiper et de prévoir, y compris ce que l’on imaginait prévisible. Après la surprise Brexit, expression d’un certain ras-le-bol des Britanniques dont les conséquences économiques et notamment touristiques restent encore à déterminer, le monde entier a vécu la sensation Trump, à cause de/grâce à l’inquantifiable « vote caché » du suffrage américain. Au-delà des résultats que l’on se gardera bien de commenter – prenons acte, respectons et composons avec – le seul enseignement certain est relatif aux prévisions : sondages et statisticiens se sont pris les pieds dans le tapis. Plus proches de nous, les primaires de la droite et du centre ont elles aussi défié les projections des prévisionnistes politiques, parfois à la dernière minute.
Encore plus proches de nous, certaines destinations avaient lancé leur saison d’hiver un peu tôt avec une neige précoce alléchante, vite rattrapées par des températures qui leur ont joué des tours. A la différence près que pour ce qui relève de notre économie, on sait que l’épisode neigeux se produira, peu ou prou, la question restant quand et combien de temps. Pour le reste les professionnels savent s’en accommoder pour optimiser ce don de la nature… en y ajoutant parfois un peu de neige de culture, histoire d’atténuer l’aléa.